" Solitude, Vide, Plénitude.

J'ai recouvré la force d'accomplir ma besogne,

La force de versifier sans vergogne,

De manière abrupte et rude,

Les choses les plus insignifiantes.

Ma prose chante.

Mes vers rebondissent dans le silence.

Chance ou Malchance ?

Le hasard et le destin, je n'y crois plus.

J'en ait trop vu, trop entendu.

De lourds secrets qui m'accompagneront dans ma tombe,

En même temps que ce futur Armageddon, la finale hécatombe.

Elle approche à grand pas,

Ne laissant derrière elle que ruines et gravats.

Alors que je suis tranquillement assis sur ma chaise

Entrain de terminer mon seize."